Les Dires de Zeta: Documents MJ12


Un sujet qui est encore chaudement débattu est la validité de ce qui est supposé être des documents de MJ12, datant de l’époque du président Truman. Ces documents de facture soignée sont suffisamment authentiques en apparence pour en convaincre beaucoup, et pourtant des défauts sont là qui en ont convaincu d’autres d’être des faux. Il y a du vrai et du faux, et ces documents pourraient être qualifiés de demi vérité. La diffusion de ces documents, dont le contenu est mensonger, se voulait être une fuite du gouvernement pour hâter l’Eveil de la population à la présence extraterrestre. Là où ces documents disent la vérité c’est dans l’existence de MJ12, de rencontres secrètes périodiques, et de l’implication du Président des Etats Unis à cette époque. Là où ces documents divergent de la réalité est lorsqu’ils donnent l’impression que MJ12 n’était qu’une réponse de circonstance, que les problèmes qu’elle résolvait n’étaient que limités à certains objectifs, ou qu’ils n’étaient que factuels sur le sujet de la présence extraterrestre et de ce que cela signifiait pour l’humanité.

MJ12 essaie de se décharger du fardeau de ses secrets depuis quelque temps. Cela ne sera jamais, franchement, à notre avis, un aveu complet de la vérité, mais un mélange de plus en plus fort de vérités et semi vérités, ce qui est tout aussi efficace et après tout préférable à la dure réalité de la vérité pure en cela que les gens peuvent s’habituer doucement. Ils auront la révélation. Ils la liront. Ils auront le sentiment de la vérité. C’est ainsi que les choses se désamorceront petit à petit. Toutes les questions seront posées. On ne fera qu’en parler. Et à travers tout cela, les gens finiront par accepter la réalité. Ils y penseront sans avoir à s’adapter à elle violemment. Cela permettra une assimilation plus rapide de la vérité, et c’est la voie empruntée par MJ12 parce qu’elle connaît bien le mécanisme. Il y a donc une part de vérité dans ces nouveaux documents, et ce sera le cas de plus en plus.

Par le passé, cette information était présentée de cette façon : avec une petite parcelle de vérité et un grand voile de discrédit violent sur l’auteur. Cette façon de faire va se transformer de plus en plus en une conversation conviviale sans violence, mais personne ne saura vraiment dire où est la vérité et où est la fiction.