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D’anciens scientifiques de la NASA, des ingénieurs et autres chercheurs, sous l’égide de la Mission Mars - un groupe de spécialistes et de citoyens à la base de la politique de la recherche spatiale - vont tenir une conférence de presse de la plus haute importance. Mardi 21 mars 1996 au National Press Club de Washington, au cours de l’événement qui doit durer deux heures (début à 9h du matin), il sera présenté une analyse scientifique détaillée de structures anciennes probablement artificielles - trouvées sur des centaines de photos d’archives de la NASA et de la mission Soviet lunaire et sur des milliers de mètres de pellicule de film original - tout ceci à l’aide d’un ordinateur dernier cri et des systèmes vidéo graphiques. Ces données, pour partie conservées depuis presque un quart de siècle dans les archives d’une université et non pas à la NASA, alimentent une enquête ininterrompue portant sur la mission Mars et cherchant à mettre à jour des découvertes sur le système solaire qui auraient été tues par la NASA, avec à l’origine un avertissement hautement controversé contenu dans un rapport du gouvernement vieux de 36 ans:

Les conclusions scientifiques et politiques les plus importantes concernant la mission Mars, qui seront illustrées abondamment par des photographies de la NASA et des soviétiques lors de la conférence de presse : ces films officiels de la mission - analysés sur un période de quatre années grâce à des techniques scientifiques et des technologies informatiques littéralement indisponibles même à la NASA il y a 30 ans (lorsque furent pris ces clichés originaux) - fournissent à présent des preuves scientifiques irréfutables de la présence d’anciennes structures artificielles sur la Lune. De plus, il apparaît maintenant que tout l’objet du programme Apollo, si précipité et si complet, initialisé par le président John F. Kennedy, et qui était de faire aller des américains sur la Lune dans les dix années qui suivaient, tout l’objet de ce projet était d’envoyer les astronautes américains à l’endroit précis de ces ruines, de les filmer, et d’en rapporter des preuves concrètes (y compris des artefacts manufacturés) pour les analyser sur Terre.

Selon Richard C. Hoagland, chef de la mission Mars et lauréat en 1993 de la Médaille Internationale Angström pour l’Excellence en Science, qui commença quatre ans plus tôt cet examen intensif des photographies de la NASA et des soviétiques, au titre des études en cours sur Mars chapeautées par les organismes de recherche, la réponse à la question « Pourquoi la NASA a-t-elle caché une information aussi extraordinaire?» est simple, sinon tragique : « Pensez aux gros titres du New York Times ; feriez vous la révélation que ce que ‘la NASA a de mieux et de plus intelligent à annoncer, à l’aube de l’Ere Spatiale, va bouleverser complètement la civilisation’ : à savoir, de véritables ruines en dur abandonnées par une race d’êtres de toute évidence supérieurs à nous’, et dans notre jardin privatif’, par dessus le marché?! Nous avons 30 ans d’écart avec ce que nous aurions pu devenir - si la NASA s’était permis de nous annoncé leur trouvaille, quand ces photos furent prises. Imaginez donc le futur que nous pourrions vivre maintenant, les découvertes, les avancées scientifiques et environnementales que le monde partagerait, si la peur, associée à une adhésion aveugle et déplacée aux autorités, n’avait pas pris sa place... »

Hoagland fait comprendre à demi-mot qu’en plus des remarquables données d’imagerie sur les artefacts, il pourrait y avoir des surprises politiques de grande envergure lors de la conférence de presse: « Nous avons la preuve que les astronautes eux-mêmes ont essayé de changer cette politique du silence longue de 30 années. Mais, comme il s’agit de « bons soldats », leurs efforts se firent discrètement. Nous comptons montrer aussi ces preuves. « Notre Président doit maintenant serrer les dents, ouvrir les dossiers de la NASA qui concernent tout cela, et dire toute la vérité. » Pour des raisons de sécurité, les noms des participants à la conférence de presse ne seront identifiés que peu de temps avant la conférence du 21- certains travaillant actuellement sur des « projets noirs » pour des compagnies aérospatiales importantes sous contrat direct avec le gouvernement ; quoi qu’il en soit, la liste des participants comprend des géologues, d’anciens ingénieurs de la NASA, des experts photographes, des ingénieurs de constructions lunaires, des architectes, et des reporters journalistes. Une documentation abondante, comprenant des hard copy d’images des astronautes « au milieu des ruines », seront disponibles dès jeudi.

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